Rien ne nous est dû mais tout nous est offert. Alors oui, aimons-nous à tort et à travers
Ami-e-s,
ces assassinats nous révulsent, il faut dire notre alarme, il faut dire notre compassion, il faut dire notre espérance, il faut dire notre foi.
Cette expérience qu’on croyait si lointaine, celle de la mort violente, celle du chantage à la terreur, nous fait tous frères et sœurs : frères et sœurs des victimes, paix à leur âme, frères et sœurs de leurs familles, frères et sœur de tous les hommes de bonne volonté, frères et sœurs… en la République, frères et sœurs aussi en (...)